🔴🇫🇷 Discours du Dr Frédéric AUGIER hier à Dijon, à la sortie de l'ordre des médecins où il était convoqué.

Dr Frédéric AUGIER était chef de soins palliatifs à l'Hôpital Lons le Saunier et il a été suspendus pour "avoir dénoncé la mauvaise gestion crise covid par le Gouvernement".

"Le délibéré va être donné dans quelques jours.
Des propos voler sur la place publique par une journaliste sans éthique, qui me présente pas son article avant de le publier.
Parce que il n'aurait jamais été publié si elle m'avait présenté telle qu'elle avait écrit, et qui le publie comme si c'était un interview.
On avait refusé une interview, elle en a été sans doute vexé.
Et je pense qu'elle a fait son travail à l’arrache, de manière très regrettable et discutable en violant l’éthique journalistique... et en donnant aussi des documents au Conseil de l'Ordre.

C’est difficile de se taire quand on voit des choses aussi graves.
On a rendu des enfants qui vont être meurtri, on banalise les péricardites chez les enfants."

Via: Le reporter indépendant
https://fb.watch/gJw7zzrUb8/
https://twitter.com/Le__General_0ff/status/1590763683466006529?t=nD53Mynxp_n2oHO39hhhTg&s=19

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"Ce qui permet au mal de triompher, c’est l’inaction des hommes de bien." Edmund Burke
———- ou ———

"Ne laissez personne pacifier sa conscience par l’illusion qu'il ne peut faire aucun mal si il n’y prend aucune part, et n’émet aucune opinion.
Les 'mauvais' n’ont besoin de rien de plus pour arriver à leurs fins, que les 'bons' regardent sans rien faire." John Stuart Mill

Source

Vidéo de compilation sur les catastrophes liées aux vaccins (Chine) 💉🇨🇳

1. Comment peut-on s'appeler "journaliste" et cacher la surmortalité ?

2. Espagne : +36.9 %
Chypre : + 32.9 %
Grèce : + 31.2 %
Portugal : + 28.8 %
Malte : + 26.4 %
Italie : + 24.9 %
Moyenne Européenne : + 15.8%

A Bruxelles, le dico des mots tabous : "Vous n'avez plus le droit de dire Madame ou Monsieur." https://lemediaen442.fr/a-bruxelles-le-dico-des-mots-tabous-vous-navez-plus-le-droit-de-dire-madame-ou-monsieur/

Les temps difficiles créent des hommes forts.

Les hommes forts créent des périodes fastes.

Les bons moments créent des hommes faibles.

Les hommes faibles créent des temps difficiles.

⚠️⚠️ FRANCE – SELON MICHELLE RIVASI, EURO DÉPUTÉ FRANÇAISE, 130'000 PERSONNELS NON VACCINÉS, TOUTES CATÉGORIES CONFONDUES, AURAIENT ÉTÉ EXCLUS PAR MACRON ET LES BANDITS DE SON GOUVERNEMENTS⚠️⚠️

130'000… alors que le gouvernement ne fait état que de 15’000.

C’est un massacre social, pur et simple.

Dans l’indifférence la plus honteuse des politiques et des médias collabos.

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Traduction française de:

Fed Defending Dollar No Matter What Crashes – Catherine Austin Fitts | Greg Hunter’s USAWatchdog

https://usawatchdog-com.translate.goog/fed-defending-dollar-no-matter-what-crashes-catherine-austin-fitts/?_x_tr_sl=auto&_x_tr_tl=fr&_x_tr_hl=fr

📽"Le préalable à la réconciliation, c’est que la vérité soit dite": dans ce Debriefing, Jean-Dominique Michel, anthropologue de la santé, analyse la "corruption systémique" du système de santé observée lors de la crise du Covid-19, avant d'indiquer les conditions de l'"aministie". 👇
https://www.francesoir.fr/videos-les-debriefings/jean-dominique-michel-le-prealable-a-la-reconciliation

Le documentaire ci-dessus est critiquable à certains aspects, mais TOUT LE MONDE devrait regarder de la minute 4 à 20, sur ces effrayants caillots trouvés par les thanatopracteurs dans le sang des vaccinés, et dont personne ne parle.
Partagez le autour de vous.

https://www.bitchute.com/video/2YXJRxLHObfZ/

Japon: Masanori Fukushima, professeur émérite à l'université de Kyoto dit ses 4 vérités au Ministère de la Santé

"La moitié des décès suite à la vaccination sont dus à des lésions cardiovasculaires et cardiaques"

"Vous ignorez la science, la médecine et laissez les soins s'effondrer! C'est un désastre..."

"Vous dépensez des milliards pour le vaccin et forcez les gens à se l'injecter"

"(Vos scientifiques) ne sont pas des scientifiques, mais des fossoyeurs de la science qui s'arrangent avec la vérité, avec un mépris total pour la science et la médecine!"

Merci du fond du coeur à Benjamin pour sa traduction.

https://twitter.com/hirt_benjamin/status/1596785618386038786?s=20&t=NUIfZYv4gBePm70q2nKySA

A l'attention du Professeur Delfraissy

Soignants suspendus - obligations vaccinales

Monsieur le Président, Professeur,

Monsieur Braun, ministre de la Santé, sollicite l’avis de votre Comité, sur l’épineux sujet des soignants suspendus faute de vaccination contre la Covid.

En même temps, par conviction vaccinale et par souci d’éthique, M. Braun exclut l’idée d’une réintégration sans vaccination, tandis que M. Macron entend s’en tenir à des considérations scientifiques et non politiques, malgré le caractère éminemment politique de l’obligation qu’il a décidée, fût-ce sur avis du Conseil scientifique que vous présidiez.

Je n’insisterai pas sur la confiance peut-être excessive que le ministre et nombre de vos confrères portent à des vaccinations confrontées au minimum à l’évolution du virus et de l’endémie, et à celle des protocoles (fréquence des vaccins, prise en compte des infections subies, rappels optionnels…).

Votre Comité doit se prononcer sur au moins deux aspects éthiques :

- le sort des soignants, pompiers, gendarmes, mis à l’écart pour défaut de vaccination ;

- l’obligation vaccinale.

La décision présidentielle d’imposer ainsi une vaccination contre la Covid était d’abord politique bien plus que scientifique, et sûrement pas éthique : loin d’infléchir le déroulement de la pandémie, cette décision a désorganisé sensiblement les services, et créé un état d’esprit déplorable chez les vaccinés de force, et chez les non-vaccinés dès lors exclus malgré leurs états de service. Il en résulte une situation inextricable faute de courage politique.

Des personnels qualifiés et dévoués comme ils l’avaient montré durant des mois particulièrement difficiles se sont vus sommés de subir sur-le-champ, un acte médical aux effets, surtout alors, mal connus, et ce, sous la menace de se voir suspendus sans traitement : une mesure conservatoire et transitoire, mais qui en l’occurrence a conduit beaucoup, au désespoir.

Surtout il s’agit de sortir de l’impasse actuelle soit en réintégrant les non-vaccinés en renonçant à l’obligation, soit en se séparant d’eux : dans tous les cas, en les indemnisant du préjudice financier et moral (« ils ont des droits sur nous ! » comme les combattants de la Grande-Guerre) amiablement, pour leur éviter les affres du contentieux et éviter à l’État et à ses gouvernants, une inéluctable condamnation par notre Justice, voire par celle de l’Europe, et par l’opinion.

L’obligation vaccinale impromptu et sous la contrainte était loin d’être éthique : la réparation, nécessaire et pragmatique, sera bien davantage éthique que l’entêtement d’un ministre.

Et la réconciliation servira l’intérêt général !
Face à l’hypothèse de réintégrer les non-vaccinés, le ministre argue d’un hypothétique refus des hospitaliers vaccinés (souvent à contrecœur) : l’interrogation récente des professionnels par le Journal International de Médecine reflète plutôt (23 novembre) le partage des professionnels quant à la levée de l’obligation vaccinale des soignants (48 % favorables sur 1 057 votes ; avec 70 % de favorables chez les infirmiers, contre 40 % chez les médecins ou pharmaciens ; 54 % favorables à la question de réintégrer les non-vaccinés, posée en juin). Les vaccinés de force admirent même le courage de leurs collègues suspendus, face à l’injustice qui leur est faite.
De fait, il est déjà nécessaire notamment outre-mer d’accepter que des soignants ne soient pas vaccinés, ce qui n’est qu’un risque minime par rapport à des périodes durant lesquelles des soignants infectés étaient exhortés à continuer leur service. De plus, le flou autour des rappels et des contaminations alimente la coexistence des deux camps, sans préjudice apparent pour les hôpitaux.
Contrairement à certains espoirs, le vaccin n’évite pas la transmission : les non-vaccinés ne font donc pas courir davantage de risques que les vaccinés, à leurs collègues ou aux patients, a fortiori si ces derniers sont immunisés.

La vaccination contre la grippe (obligation pour les soignants, mais suspendue) est ainsi un précédent de coexistence réussie de vaccinés et de non-vaccinés.



L’autre argument du ministre contre ceux qui ont préféré ne pas se faire vacciner, relève du procès en hérésie ou reniement : la foi pasteurienne de l’intérêt de la vaccination ne saurait garantir a priori l’utilité, l’innocuité et l’efficacité d’un vaccin quel qu’il soit, a fortiori récent, et pour n’importe quel individu. Il ne s’agit plus de science !

Ceux qui se sont abstenus de vaccination sont souvent plus rationnels que ceux qui l’ont acceptée d’emblée : une attitude somme toute utile à la qualité de leurs services. L’obligation et la menace de nouvelles obligations pourraient même décourager certaines vocations.

La crise actuelle devrait au contraire être l’occasion de réexaminer la pertinence des obligations vaccinales actuelles ou envisagées.

Quel est, surtout en milieu hospitalier, le risque du tétanos, non contagieux ? Quel est le risque de polio dans notre pays qui en est exempt depuis plus de 30 ans, et dont l’assainissement est d’un excellent niveau ? Quel est, pour les jeunes enfants ou les thanatopracteurs, le risque d’hépatite B, maladie sexuellement transmissible ?… Quel est dès lors l’intérêt d’imposer les vaccinations correspondantes ? Leurs risques, si minimes soient-ils, sont au mieux du même ordre de grandeur que ceux des maladies qu’ils sont censés combattre !

Surtout ces obligations vaccinales contreviennent aux principes d’inviolabilité du corps humain, et du consentement de l’individu préalablement à tout acte sur sa personne (sauf péril), notamment lorsque le bénéfice de l’acte est incertain.

De telles obligations déresponsabilisent ceux qui les acceptent et ceux qui les exercent.

Nos concitoyens ont la capacité de désigner régulièrement celui qui pourra mettre en œuvre l’arme nucléaire. Parents, ils ont la charge quotidienne d’alimenter, vêtir, héberger leurs enfants, mais on leur dénie la capacité de choisir avec leur médecin, les mesures adaptées pour les préserver de risques rares !



L’occasion est là de lever toutes les obligations actuelles et d’en exclure de futures, et sans en appeler à la Constitution !

Sans vous déjuger, votre Comité et vous-même vous grandirez à préconiser l’abandon des obligations vaccinales ! de toutes les obligations vaccinales ! À preuve si besoin, nombre de pays comparables au nôtre respectent cette liberté individuelle, sans davantage d’incidences infectieuses !



Confiant dans vos prochaines recommandations, je vous prie d’agréer, Monsieur le Président, mes sincères salutations.



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J.-Pierre AUFFRET

4, allée des Airelles

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+33 6 19 69 00 73

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